16 novembre 2015
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Je n'ai pas les mots pour exprimer toute l'horreur de ce vendredi. C'est un mélange de dégoût et d'incompréhension.
Une lettre de Simon Castéran m'a touché et exprime une partie de ce que je pense. Alors, je la reposte, diffuse en espérant qu'un jour nous pourront vivre, juste vivre tel que nous sommes.